Billet du lundi de Pâques

Quel beau lundi de Pâques!  Une longue fin de semaine en famille, un dimanche chocolaté à souhait, une grasse matinée en amoureux (merci aux amis et au chocolat qui ont forcé le prolongement du dodo de nos petites bêtes ce matin!).  Une seule ombre au tableau, le panier de cocos:

Ce qu'il est traite ce lapin de Pâques.  Il ne pouvait pas semer des carottes ou même des crottes de lapin.  Hé non, il devait absolument laissé mon péché mignon, ce à quoi je suis incapable de résister, sur son chemin.  Et pour 4 évidemment!  Il sait pourtant très bien qu'un d'entre eux n'en mange presque pas, que les 3 autres en ont de plus intéressants à grignotter pendant des mois avec les cocos géants qu'il leur a laissé ainsi que tout ce qu'ils ont reçu de la part de la famille et des amis.  Il me semble qu'un chemin de 4-5 cocos était suffisant, non?  Pas un plein panier auquel papa et maman on bien de la difficulté à résister, surtout quand il trône bien en vue dans la cuisine parce que c'est la seule trace de Pâques qu'il nous reste.  Parce que si j'adore décorer pour toutes les fêtes inimaginables et ce, 30 jours à l'avance, je ne les tolère plus la journée même de la-dite fête et je lutte contre moi-même pour ne pas tout enlever avant la fin de la journée.  Si bien que ce matin, lendemain de Pâques, les lapins, poussins et oeufs ont pris le chemin du sous-sol avant même que j'aie eu le temps de me décoller entièrement les yeux.  Les petits cocos en chocolat, eux, trouvent chemin jusqu'à mon estomac à raison d'un à chaque 15 minutes.  Mais tant pis, de toute façon, ils ne sont pas supposés se multiplier par miracle comme le font le pain et le vin! 
On verra l'an prochain pour convaincre le lapin de semer autre chose d'un peu moins tentant!