"Mange tes brocolis...
... sinon tu n'auras pas de dessert."
"Cesse de pleurer sinon tu auras du brocoli pour souper."
Suis-je la seule à avoir des enfants pour qui ces paroles n'ont aucunement l'allure de menace ou de chantage? S'ils ont tous eu une période pendant laquelle on devait camouffler les champignons ou écraser le choux-fleur, ils ont toujours adoré les gros fleurons de brocoli. Encore croquants cuits à la vapeur avec une pincée de sel ou une noix de beurre, en crudité avec une trempette, en sauce avec de la viande et des carottes, en sauté, en émincé, en purée, en petits ou en gros morceaux, ils en mangeraient matin, midi et soir s'ils le pouvaient. S'ils nous entendent se demander avec quoi accompagner le saumon du souper, ils répondront à tout coup: "du brocoli gratiné?" Avec 4 petites bêtes adeptent de ce crucifère, vous comprenez maintenant de quelle façon nous rentabilisons notre carte exécutive du costco depuis bientôt 2 ans!