Dans la catégorie: pourquoi payer quand ça peut être gratuit?

Cet après-midi, l'homme et grand fiston avait un après-midi de gars à jouer les geeks avec leurs jeux vidéos.  J'avais donc l'après-midi avec les 3 plus petits et aucunement envie de faire du ménage (c'est ça qu'on fait quand il pleut d'habitude, non?) alors il fallait absolument fuir la maison!  J'avais envie de leur faire plaisir, de les amener s'amuser.  J'aurais pu payer des bracelets à 10$ chacun pour qu'ils jouent dans un module de jeux d'un complexe.  Mais pourquoi payer alors qu'il y en a des complètement gratuits autour de nous?  D'abord, arrêt au centre commercial avec un peu de chantage: 15 minutes de patience pour que je puisse faire des courses contre 30 minutes dans le petit module de jeux de la place.  Je vous l'accorde, on est loin de l'imposante structure de 6 étages du complexe à 30$ par famille mais juste assez grand pour des enfants de 3 et 5 ans et quand on n'y va pas souvent, il apporte la même impression d'avoir obtenu un grand privilège.   Deuxième arrêt: l'endroit ultime pour rendre mes enfants heureux... le royaume du clown!  En échange du prix d'un dessert glacé (mangé presque entièrement par maman, les petites bêtes étant trop occupés à batifoler), ils ont pu escalader un plus gros module encore et encore.  Même le plus petit était complètement heureux d'avoir la permission de monter et descendre inlassablement l'escalier.   Pas trop cher payer quand même puisque j'aurai eu 30 minutes de tranquilité à simplement les regarder et les encourager.  Le summum?  Utiliser les sous économisés pour se ramener un souper déjà tout prêt!  Vous me direz: "pourquoi payer un souper tout fait alors que ça coûte moins cher de le faire maison et surtout plus santé?".  Parce que papa et maman aussi aiment avoir une pause du souper et que c'est plaisant de manger en sachant qu'il n'y aura pas de vaisselle à faire.  De toute façon, avec un coupon et un rabais dans le-dit restaurant, c'est quasiment aussi économique (non, non, je vous jure que nous ne sommes pas avares!) en bout de ligne!